Oulààààà, vous êtes prolixes, merci, merci et merci !
Entre ma question et ce jour, je me suis tapé un format c: (formatage de bécane).
D'où ma ptite absence.
Il est vrai aussi que M. Réveillon est passé par là aussi.
Alors joyeuse année à tous et "tudo de bom²", bien sûr n'oublions pas une précision précieuse : de la réussite avec nos plantes
Alors résumons
Eau de Javel
Vinaigre blanc
Sulfate de fer
Ammonium quaternaire
Nettoyage à l'eau pressurisée ou vapeur
Finalement j'ai opté, à contre cœur, pour l'eau de Javel

(précurseur d'organochlorés)
Facile à trouver, bon marché, pulvérisée diluée sur la bâche préalablement mouillé... Sans vent... Une rallonge sur le pulvérisateur et hop là !
Pour la dilution, j'ai mis 30 ml d'une Javel à 32° chlorom#!{@◙ dans 5 l d'eau. 30 min d'action, puis lavage à grande eau.
Ca a foutu un coup de bambou sévère sur mes voleuses de photons. Sans toutefois les éradiquer.
La prochaine fois je passerai à 60 ml pour 5 l d'eau.
Voilà, ça m'évite les malabarismes en hauteur + les risques de déchirures dus aux interventions mécaniques (brossages au balai).
Puis je me suis rendu compte que le nettoyage mécanique, dans mon cas, a un effet de courte durée.
En effet, la configuration du toit de mon orchidarium est la suivante :
Toile d'ombrage 30 % fixe (protection mécanique de la bâche)
bâche PEHD
support métallique
toile d'ombrage 30 % mobile
toile d'ombrage 30 % mobile
En nettoyant que la bâche PEHD, les algues restées sur la toile au dessus retombaient sur la bâche à 50 cm en dessous. Et rebelote

Puis nettoyer un toile d'ombrage tricoté

c'est pô possible.
² trad. pt. br. =>fr.:tout ce qu'il y a de bon.