Orchidouxdingues

Bonjour,
Je me suis lancée depuis peu dans le genre bulbophyllum.
J'ai depuis quelques mois un petit bulbo Inunctum pour lequel j'ai peu d'informations.
Je le cultive en pot (dans lequel il m'a été vendu) et m'a déjà fait 2 petits pseudo bulbes (que je veille à ne pas mouiller lors des pulvérisations pour éviter la pourriture).
L'un d'entre vous cultive-t-il cette variété ?
Vaut-il mieux que je le monte sur écorce ?
Par avance merci de vos réponses.

Désolé de te piquer ton topic mais j'en profite pour demander :
Est ce que les bulbo se plaisent en hydro ? ou au moins en bille d'argile avec arrosages normaux ?

Sinon j'ai souvent lu que les bulbo adorent etre sur plaque, généralement dans un mots ils en sortent rapidement.

Je l'ai depuis quelques mois. C'est un tempéré-chaud qui demande la mi-ombre.
Sur les conseils de Mathieu, je lui donne un peu plus de lumière.
Il est cultivé en appartement derrière une baie vitrée orientée sud-ouest avec un léger ombrage en été.
Il est en pot mais c'est vrai qu'il a tendance à "grimper", croissance plutôt verticale par rapport à mes autres bulbos qui ont une nette tendance à aller voir ce qui se passe chez le voisin

Voila, tabou a tout dit.
Monté sur écorces mais en serre uniquement sinon en pot il est bien .
Pour le controler, mettre un bout de bois ( plutot plat mais assez large) que vous mettrez légérement incliquer dans le pot ( a faire au prochain rempotage) mettre un peu de sphaigne dessus maintenu par quelques bout de fils à coudre et hop, monsieur fait grimpette . Cela va sans dire que la sphaigne doit resté un maximum humide dés lors que la plante commencera la monté de l'everest.

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Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la derniére goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible.

Merci à tous,

Au vu de l'espacement entre les pseudo dans le pot je me doutais que c'était un vagabond.
Quand il dépassera trop du pot je l'installerai avec ses cousins Lobbi, Sumatranum et Smithinandii, qui s'y éclatent, sur le tronc de la fougère arborescente.

C'est ce qu'il y a de mieux

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Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la derniére goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible.