Ci-dessous quelques photos des problèmes.
Phalaenopsis Minimark :





Jeune Phalaenopsis stuartiana :



Jeune P. stuartiana, revers de feuille :

Jeune dendrobium de type phalaenopsis :


Jeune dendro type phal, revers de feuille :

Dendrobium pierardii :
Les trous correspondent aux nécroses que j’ai percées avec une aiguille afin d’assécher les tissus morts.





Détail des 2 faces d’une feuille fraiche de D. pierardii sans perçage à l’aiguille :


Détail des 2 faces d’une feuille sèche de D. pierardii qui s’est détachée d’elle-même du pseudobulbe :


Le problème a commencé cet automne avec une décoloration partielle (jaunissement) sur feuille de P. Minimark, avec des pertes de feuilles (atteintes de taches nécrosantes) sur dendrobium de type phalaenopsis et l’apparition de nécroses sur les feuilles de jeunes P. stuartiana (pas de décoloration ni de chute des feuilles atteintes). Placés cet hiver sous un éclairage artificiel, les P. stuartiana ont produit une nouvelle feuille apparemment saine, et les dendro type phal, une nouvelle pousse apparemment saine aussi (voir ci-dessous).


Etant donné la repousse de feuilles saines sur les phal (sauf sur Minimark, en fleur en ce moment) et les dendro-phal, je ne me suis pas trop inquiété jusqu’à maintenant, peut-être à tort.
En effet, les dendro pierardii ont déclaré la maladie au printemps après les autres et ne semblent pas du tout s’en remettre d’eux-mêmes. Je les ai traités au florida mix (dithane + aliette), sans succès.
Ma mère ayant le même problème sur certains de ses phal, je pense que notre problème commun est dû à l’eau de pluie que nous utilisons (j’arrose mes plantes avec l’eau de pluie récupérée chez ma mère).
Surtout quand on sait qu’il y a eu, l’été dernier, un problème de pourriture d’algues (avec odeur nauséabonde) dans le récupérateur d’eau de pluie de ma mère. Nous avons elle et moi utilisé un peu de cette eau « pourrie » avant de sentir l’odeur, de vider le récupérateur et de le rincer à l’eau claire. Après ce nettoyage rapide, ne constatant plus d’odeur désagréable, nous avons à nouveau utilisé l’eau recueillie par ce récupérateur jusqu’à aujourd’hui. Dorénavant nous n’utilisons plus cette eau suspecte.
Les espèces autres que phalaenopsis et dendrobium ne semblent avoir aucun problème. Certains phal n’ont pas déclaré la maladie. Certains dendro non plus.
Voilà, je crois que j’ai à peu près tout dit.
L’un d’entre vous est-il capable d’identifier la véritable origine des problèmes exposés ci-dessus ? Champignon ? Bactérie ? Virus (j’espère que non) ? Une carence ou un excès ? Une bestiole ?
Quel remède utiliser pour sauver les pierardii qui me semblent en perdition ?
Je remercie d’avance celles et ceux qui pourront m’apporter un peu d’aide.
Franck.