Je fais remonter le post pour une dernière option, je crois qu'après on aura à peu près fait le tour de la question.
Je suis d'avis, comme beaucoup, que moins on bouge une plante le mieux c'est et qu'effectivement c'est un vrai travail pour elle de situer ses capteurs au mieux par rapport à la lumière sachant qu'elles sont à peu près souples comme des verres de lampe, toute l'énergie gaspillée dans ce mouvement est perdu pour le développement.
Mais ceci n'enlève rien au problème de pots déséquilibrés devant une fenêtre ou sous une loupiotte.
Donc pour les orchid. type dendro je tourne le pot 1 fois seulement >> à la naissance des jeunes pousses qui chez moi poussent tjs à l'abri des grandes (donc à l'opposé de la source de lumière et c'est quasi systématique). Ainsi ces jeunes pousses bénéficient bcp plus rapidement d'un maximum de lumière pour fabriquer leur sucre et le pot s'équilibre naturellement. Pas au niveau de la floraison bien sûr (et encore certaines vieilles cannes refleurissent d'elles même, elles ont déjà leurs stock et de toute façon ne "travaillent" plus ou beaucoup moins).
C'est surement une vision naïve des choses mais moi y en a pas scientifique alors voilà, on en prend on en laisse!!!
Les monopodiales je ne les tourne jamais (sauf un phal qui faisait une pousse qui a mis un temps fou à changer son orientation comme si elle avait du départ la mémoire de l'ancienne situation alors que je l'ai tournée avant la sortie des feuilles et ça c'est très étonnant, idem pour les sympodiales d'ailleurs).
Quand aux déplacement quotidiens si la plante est remise en place comme la veille, à mon avis ça limite les dégats par expérience le plus gros risque c'est les gadins et comme une lassitude du "déménageur" au bout d'un temps

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Aah! Ca faisait longtemps que j'avais pas causé moi!
mano