merci pour tous vos apports

je reprends dans l'ordre...
Etienne a écrit:
je ne comprend pas ton pb ici. le spectre d'action est qualitatif ET quantitatif.
ce que je voulais dire est lié au fait que presque toutes les sources comportent des raies significatives (voire monochromatique avec les LED qui le sont), contrairement au spectre d'action continu, d'où le retour vers les raies du spectre d'absorption
Etienne a écrit:
te casses pas la tête car, en conditions normales, la qualité de la lumière n'est pas (et de loin) le principal facteur de floraison.
Une fois que tu as optimisé les conditions d'arrosage, de substrat, de température, d'hygrométrie, d'engrais, d'intensité lumineuse, de durée d'éclairement... et des variations de tous ces paramètres au cours de l'année, tu peux t'intéresser à la qualité de la lumière.
Si c'est ton cas je dirais que tu possèdes 50 000m² de serres pour faire du phal industriel

hors substrat, je compte me donner les moyens de gérer le reste (la question du 'bien gérer' reste en suspend !), par le biais d'un automate et quelques capteurs, ce qui est à ma portée et me semble être une piste de travail

mais je n'ai que le cent-millième du nécessaire en surface

J'ai abandonné l'eau de mer par manque de moyens, car je ne conçois pas d'avoir autre chose qu'un matériel 'top' pour ne pas 'casser du poisson'...
J'ai en particulier monté en lieu public un 1000L (nets) resté par la force des choses 6 mois sans entretien... sans casse des coraux ni des poissons, loin s'en faut.
Certes, pour les plantes, c'est moins commun de parler
d'êtres vivants (finalement, que sait-on du
être ?) mais on peut au moins argumenter de longs mois de patience pour obtenir une floraison... perdue en quelques jours d'absence

ils valent bien quelques dizaines d'euros !
ooops... ça fait trop sérieux, là

Etienne a écrit:
L'intérêt (débattu) des LED est de pouvoir fournir uniquement les longueurs d'ondes nécessaires sans perte d'électricité pour produire de la lumière "inutile" ou de la chaleur. Mais dans ce cas, la qualité de la lumière est un pb car il n'y a que quelques longueurs d'ondes fournies.
je sais que c'est très théorique pour le moment, mais pour moi plus par budget excessif que par indisponibilité de composants : une petite visite s'impose chez
http://www.roithner-laser.com (voir en particulier leur 'pricelist' en 3 et 5W page 57)
Etienne a écrit:
j'utilise des LED en ce qui me concerne mais je n'ai pas encore assez de recul pour avoir une opinion.
quel type de LED, si c'est pas indiscret ?
Laurence, je trouve tes remarques très pertinentes, en terme de renfort ponctuel et de panachage (hé, c'est la modo

). Je n'ai pas d'expérience ni de recul à propos de MH pure en floraison, mais je fouille sur les LEDs car ça évolue très vite et les rendements grimpent sérieusement. Allié à la souplesse des LED (bonne focalisation, peu à peu plus puissantes, allumage individuel immédiat mais globalement progressif, ne chauffent pas, ...), ça peut devenir un premier choix si les prix continuent de descendre (en terme de lumen/W)
Le Steph, j'ai lu avec intérêt les posts relatant tes essais : un grand merci de mettre à disposition ces infos
Pour terminer sur les lux et les Watts, certes il ne peut y avoir d'équivalent, au moins en monochromatique, mais sauf de passer beaucoup de temps en essais-erreurs ou de disposer d'un bon jeu de diodes pour les 'mesurer' une à une avec la même méthode (compris réflecteur), il va bien me falloir estimer le nombre de diodes nécessaires pour avoir l'équivalent de 8000 lux à 1m sur 0,5m^2...
juste pour en déduire une idée de budget
